Singulier pluriel
"…si les formes ne sont rien sans la lumière du monde, elles ajoutent à leur tour à cette lumière" Albert Camus.
Singulier parce qu’il y a un visible qui fait sujet photographique.
Pluriel parce que derrière l’apparence de toute chose il y a l’invisible. Il y a autant d’invisibles que de sensibilités et d’imaginaires.
Le dialogue avec ce qui se cache derrière le réel, avec ce qui nous dépasse et ce qui nous surprend fait source de rêve, de poésie. Simple question de disposition d’esprit.